¡Viva la muerte!

N’oublions pas que, avant d’être, de fait, la devise du terrorisme des extrémistes islamiques, c’était le cri de ralliement d’un mouvement politique d’essence catholique: le franquisme.

Quand un mouvement, religieux ou politique, quel qu’il soit, est composé de centaines de milliers de personnes.

Quand leurs motivations à y participer sont anciennes de plusieurs dizaines d’années.

Quand ils ont prouvé, par leurs actions violentes, qu’une grande partie d’entre eux étaient prêts à mourir pour cette cause…

Une chose est certaine: tout chef tué sera immédiatement remplacé par quelqu’un qui poursuivra son action.

Il n’y a donc que deux possibilités: tuer en même temps les centaines de milliers de personnes qui le composent, ou agir sur les causes qui font que ce mouvement agit de façon violente.

Et c’est valable aussi pour les immigrations clandestines…